Écrire, c'est comme jouer aux dominos mais avec des demi-mots. Il s'agit de les organiser de telle sorte que le premier tombant sous le regard d'un lecteur, il entraîne dans sa chute, un à un, tous les mots d'une histoire captivante.
Réflexions, Réussir sa vie, Réflexions sur le bonheur... quelque soit le nom qu'on lui donne, la présente page constitue une collection d'histoires inspirantes. Les récits sont variés, allant de l'histoire d'une personne qui a réussi à transformer sa vie grâce à la persévérance à celle d'une autre qui a appris à apprécier les petites choses de la vie. Et même si plusieurs sont des fables, aucune ne vise à imposer un point de vue ou une morale, non, plutôt, ces fâbles spirituelles explorent les environnements, les thèmes et les formes des légendes que l'humanité ne cesse de répéter, de reconstruire et de retransmettre par quelque moyen que ce soit depuis l'invention de la parole... il y a 50 mille ans.
« Si la carte est vague ou fausse, nous nous égarerons. Si elle est précise et fidèle, nous connaîtrons toujours notre position; et quand nous aurons choisi une destination, nous saurons le plus souvent comment y arriver. » S. PECK
Si nous étions parfait, nous n'aurions pas à présenter des excuses. Mais parfois, une personne peut avoir été injustement lésée par nos actes ou nos propos. La question n'est pas de savoir si nous sommes coupable, car nous sommes généralement de bonne foi. Et les crimes pour lesquels nous présentons des excuses, sauf exception, n'en sont pas. Alors, sans crime, point de coupable. Il nous arrive, plus vraisemblablement, en cherchant à éviter de prendre la responsabilité de nos émotions, de donner un faux signal par rapport à la réalité. Lorsque nous prenons conscience que nous avons ainsi établi une relation inégale, que nous avons défendu avec véhémence un point de vue qui n'était pas représentatif de notre perception, que nous avons voilé la vérité par peur de perdre, nous nous excusons. Nous ne cherchons pas alors à être délivré par l'autre de notre émotion de culpabilité – par exemple: en nous disant que ce n'est pas grave, ce serait nous prendre en charge et nous préférons assumer nous-même notre responsabilité – mais nous agissons par amour. En transmettant le signal juste, nous permettons à l'autre de reconnaître plus précisément sa position, s'il ne l'a pas déjà fait. Nous participons ainsi à sa progression vers le bonheur.
Je ne présente pas des excuses pour m'humilier ou pour que l'autre me libère d'un sentiment de culpabilité, mais par amour de la vérité et de l'autre. Mes excuses sont une contribution sincère à son bonheur.
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Le copywriting, c'est savoir vendre le Stade Olympique de Montréal à répétition aux mêmes personnes.