Écrire, c'est comme jouer aux dominos mais avec des demi-mots. Il s'agit de les organiser de telle sorte que le premier tombant sous le regard d'un lecteur, il entraîne dans sa chute, un à un, tous les mots d'une histoire captivante. 

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Réflexions, Réussir sa vie, Réflexions sur le bonheur... quelque soit le nom qu'on lui donne, la présente page constitue une collection d'histoires inspirantes. Les récits sont variés, allant de l'histoire d'une personne qui a réussi à transformer sa vie grâce à la persévérance à celle d'une autre qui a appris à apprécier les petites choses de la vie. Et même si plusieurs sont des fables, aucune ne vise à imposer un point de vue ou une morale, non, plutôt, ces fâbles spirituelles explorent les environnements, les thèmes et les formes des légendes que l'humanité ne cesse de répéter, de reconstruire et de retransmettre par quelque moyen que ce soit depuis l'invention de la parole... il y a 50 mille ans. 

27avr.

118 – GARDER LE CONTACT AVEC SES ÉMOTIONS

Patrick Gauthier | 0 Commentaires | Vues (846) |Retour|
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     « Lorsque notre peur rencontre la douleur d'autrui, elle devient pitié ; lorsque c'est notre amour qui rencontre cette douleur, elle devient compassion. »      
     S. LEVINE     

Quand nous éprouvons de la pitié, c'est souvent une barrière à une action. Notre apitoiement nous justifie de penser qu'il n'y a plus rien à faire. A d'autres moments, pour nous couper de notre pitié, nous partons en croisade pour changer à notre manière l'état pitoyable de l'autre et sa situation. Ainsi, dans la prise en charge de nos responsabilités, nous abandonnons notre contact intérieur avec nos émotions et nous nous « supériorisons » en pensant que nous sommes capable de mieux gérer la vie d'un autre que cet autre lui-même. Le degré de pitié que nous éprouvons pour lui reflète le complexe de supériorité qui nous éloigne de notre vérité. Quand nous accueillons l'autre avec amour, nous savons lui accorder l'écoute dont il a besoin pour qu'il comprenne lui-même sa situation. Nous prenons intérêt à sa situation sans chercher à abandonner notre contact avec notre cœur et nos émotions. Nous conservons toute notre paix et toutes nos énergies. Et s'il s'avère que nous représentons, pour l'autre, une forme de solution, qu'il veuille nous demander une aide supplémentaire, et que nous soyons en mesure de la lui accorder sans dommage pour nous, nous faisons le choix de nous engager activement dans la réalisation de son succès, de sa solution. Mais cela demeure notre choix, nous ne sommes plus le jouet de notre peur, de nos émotions. 

Avoir de la compassion, c'est me relier à l'autre par mon écoute attentive à son besoin véritable, non à ce que je voudrais qu'il soit. Je garde le contact avec mon émotion et j'accueille l'autre avec la paix profonde de mon âme. Je deviens libre de mes choix.

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Patrick Gauthier

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